Mon MEDEF et moi - Service dédié au dirigeant

Les solutions de garde sont diverses et varient selon l’âge des enfants. À vous de déterminer quelle solution répondra le mieux à vos attentes et vous permettra de partir travailler en toute sérénité !

Les structures d’accueil collectif

L’accueil collectif des enfants en bas-âge peut être assuré :

• Pour les enfants de moins de 3 ans, dans des crèches, des micro-crèches (avec un nombre d’enfants restreint), des haltes garderies (pour les accueils ponctuels) ou dans des structures multi-accueil (à la fois crèche et halte-garderie).
• Pour les enfants entre 2 ans et 6 ans, dans des jardins d’enfants qui sont des structures publiques ou privées, soumises à l’agrément du Conseil Départemental.
• Pour les enfants scolarisés, dans les centres de loisirs qui proposent un accueil sur le temps périscolaire et extrascolaire.

L’assistant maternel

C’est un professionnel de la petite enfance qui peut accueillir, à son domicile, un nombre d’enfants limités.
Cette personne doit être agréée par le Conseil Départemental.
Elle peut être salariée d’une crèche familiale, également appelée « service d’accueil familial ». Elle peut aussi être employée par les parents.

Les assistants maternels agréés peuvent également recevoir les enfants dans des locaux appelés Maisons d’Assistants Maternels (MAM). Ces lieux permettent aux enfants de se familiariser avec la vie en collectivité.

La garde à domicile

Cette solution permet de faire garder ses enfants à son propre domicile.
Il est également possible de partager l’emploi d’une garde à domicile avec une autre famille.
Vous définirez avec la famille les modalités de la garde (alternance du lieu de garde, temps de garde, horaires, congés…).

Deux possibilités s’offrent à vous :

• Devenir l’employeur de la personne. Vous pouvez soit vous charger du recrutement et des formalités administratives liées au statut d’employeur (contrat de travail…), soit recourir aux services d’un prestataire (entreprise, opérateur public ou association) agréé par l’État.
• Vous adresser à un organisme spécialisé, agréé par l’État, qui sera alors l’employeur de la personne qui gardera le ou les enfant(s).

Vous avez des questions complémentaires concernant la garde de vos enfants (recherche de prestataires, etc.), contactez un conseiller.

Le handicap d’un enfant peut présenter des difficultés dans le cadre de sa scolarisation. Des solutions et des structures spécialisées existent.

L’accueil et la scolarisation en milieu ordinaire

Selon la nature et la gravité du handicap de votre enfant, celui-ci peut être accueilli en milieu scolaire dit « ordinaire ».

• Vous pouvez l'inscrire dans une crèche, une halte-garderie, un jardin d'enfants, ou à l’école maternelle. Votre enfant y sera accueilli dans les mêmes conditions que les autres.
• A partir de l’école élémentaire, votre enfant pourra suivre sa scolarité en milieu ordinaire dans une Unité localisée pour l'inclusion scolaire (Ulis). Les classes Ulis sont totalement intégrées aux établissements scolaires ordinaires et accueillent un petit groupe d’enfants dont le handicap nécessite un accompagnement ajusté.
• Inscrivez votre enfant dans l’école de secteur, puis renseignez-vous auprès de la MDPH (Maison Départementale du Handicap) de votre département afin qu’elle analyse les besoins spécifiques de votre enfant.

Les accueils collectifs spécialisés

Si la scolarisation de votre enfant n’est pas possible en milieu ordinaire, il existe des structures spécialisées : les établissements médico-sociaux.
Parmi ces établissements :

• Les IME - Instituts Médico-Éducatifs, accueillent des enfants présentant des troubles des fonctions cognitives (handicap mental) ;
• Les établissements pour polyhandicapés, accueillent des enfants présentant un handicap complexe associant une déficience mentale grave à une déficience motrice importante ;
• Les instituts d'éducation sensorielle, accueillent des enfants présentant un handicap auditif et/ou visuel ;
• Les IEM - Instituts d'Éducation Motrice, accueillent des enfants présentant un handicap moteur ;
• Les ITEP - Instituts Thérapeutiques Éducatifs et Pédagogiques, accueillent des enfants présentant des troubles de la conduite et du comportement perturbant gravement leur socialisation et l'accès aux apprentissages.

Vous rencontrez d’autres problématiques en lien avec le handicap de votre enfant ? Prenez contact avec un conseiller pour obtenir plus d’informations sur les relais et dispositifs existants.

Contraintes professionnelles ? Problème de santé ? Vous ne pouvez pas, de manière temporaire, accompagner vos enfants jusqu’à l’école. Voici des solutions alternatives…

Faire appel à la solidarité

Lorsque le besoin d’accompagnement est ponctuel, le plus simple est de solliciter l’entourage. Qu’il s’agisse de la famille ou d’autres parents d’élèves en qui vous avez confiance, c’est la 1ère piste à privilégier.
Et si vos enfants doivent réaliser seuls une partie du trajet, sachez qu’il existe des balises GPS afin de suivre vos enfants à distance. Sous forme de petits boîtiers à glisser dans le sac ou bien sous forme de montres, ces traceurs indiquent en temps réel où se trouvent vos enfants.

Recourir aux services à la personne

Par le terme Services A la Personne (SAP) on désigne les prestations de services rendus aux particuliers. L’accompagnement des enfants dans leurs déplacements est une des compétences des SAP.
Les prestations de SAP sont réalisées par des organismes certifiés qui peuvent être des entreprises ou bien des associations. Leurs services sont généralement facturés entre 20 et 30€ de l’heure.

L’internat comme solution provisoire

Si l’école de votre enfant dispose d’un internat, sachez que certains établissements acceptent les enfants pour des accueils temporaires.
Contactez l’établissement en question afin de savoir s’il pratique ce type d’accueil, et s’il lui reste des places pour faire séjourner votre enfant sur une période déterminée.
C’est également une alternative si vous rencontrez un problème familial (tel qu’un divorce conflictuel), et qui permettra ainsi d’éloigner les enfants des situations de tension.

Vous souhaitez être mis en relation avec des prestataires de services à la personne proche de chez vous ? Prenez contact avec un conseiller.

Par le terme « Services A la Personne » (SAP) on désigne les prestations de services rendus aux particuliers.

Une aide pour le quotidien

Parmi ces prestations, vous pouvez bénéficier d’une aide-ménagère, de la livraison de courses, d’une aide à la toilette pour votre proche, de l’aide à la prise de repas… Différents services qui peuvent vous seconder auprès de votre parent.
Une liste officielle, détaillée dans le code du travail, définit le type d’activité relevant de la dénomination « Services A la Personne ».
Voici la liste exhaustive :
https://www.servicesalapersonne.gouv.fr/beneficier-des-sap/activites-de-services-la-personne

Des avantages fiscaux

Afin d’encadrer la pratique des Services A la Personne et de garantir une expertise professionnelle des intervenants, les fournisseurs de SAP doivent respecter une règlementation spécifique.

Les activités de Services A la Personne doivent faire l’objet d’une déclaration pour permettre aux clients de bénéficier des avantages fiscaux liés à l’emploi de Services A la Personne.

Grâce à l’emploi de SAP ayant un agrément, vous pouvez bénéficier d’un crédit d'impôt. Sachez que depuis peu l’avance immédiate de votre crédit d'impôt est désormais disponible. Dans ce cas, le montant de votre crédit d'impôt est déduit du montant des prestations. Cette avance immédiate n’est valable que si vous avez recours à un organisme intermédiaire.

Différentes formes d’emploi

Vous disposez de 3 possibilités :

• Vous adresser à un organisme prestataire.
  Cela consiste à solliciter un organisme qui missionnera un ou plusieurs de ses salariés pour intervenir. L’organisme s’occupe de tout : le recrutement du personnel, la rémunération des intervenants, l’organisation des interventions, la gestion des démarches administratives.
• Passer par un organisme mandataire.
  Ce type d’organisme se charge de vous mettre en relation avec un intervenant et s’occupe des démarches administratives. Par contre, vous serez considéré comme l’employeur du salarié et il vous incombera de le rémunérer directement et de vous acquitter des charges patronales associées.
• Opter pour l’emploi direct.
  Cela consiste à employer directement un salarié, sans intermédiaire. Dans ce cas, vous serez l’employeur de la personne et devrez assumer toutes les responsabilités et obligations liées à ce statut : contrat de travail, bulletin de paie, calcul et déclaration des cotisations sociales...

Un conseiller peut vous aider dans vos démarches et vous mettre directement en relation avec un organisme prestataire proche de chez vous : n’hésitez pas à le solliciter.

L’accueil de jour est une solution d’accueil temporaire des personnes âgées dépendantes. C’est une véritable solution de répit pour les aidants qui leur permet de se libérer et de prendre du temps pour eux-mêmes.

Les centres d’accueil de jour sont des structures médico-sociales organisées spécialement pour l’accueil de publics fragilisés, et adaptées à leurs besoins.

• Ces centres s’adressent aux personnes âgées en perte d’autonomie physique ou cognitive, mais qui vivent encore chez elles.
• Ils peuvent accueillir votre proche âgé à la journée ou à la demi-journée, une ou plusieurs fois par semaine.

Outre la possibilité de vous dégager du temps dans votre rôle d’aidant, ces centres sont l’occasion pour votre proche de sortir de chez lui et de rencontrer du monde.

L’accompagnement proposé par les centres d’accueil de jour a pour objectif de permettre aux personnes accueillies de rester vivre le plus longtemps possible chez elles.
Pour cela, les centres proposent des activités adaptées stimulant la mémoire, le langage, l’orientation spatio-temporelle, la créativité...
Chaque personne accueillie bénéficie d’un projet individuel personnalisé, avec des activités préconisées qui tiennent compte des choix et centres d’intérêt de la personne accueillie.

Ces activités peuvent se réaliser individuellement ou en groupe par exemple :

• Atelier cuisine ;
• Loisirs créatifs ;
• Chant, danse ;
• …

Chaque centre d’accueil pourra vous exposer ses activités de manière détaillée en fonction de la pathologie de votre proche.

Vous aidez un proche en situation de handicap ou de perte d’autonomie liée à l’âge ? Contactez un conseiller pour connaître les autres solutions de répit selon votre situation.

Afin d’aider un proche qui souffre d’une grave maladie vous disposez de différents leviers :

• Prendre contact avec les associations spécialisées dans la maladie dont souffre votre proche.
  Vous obtiendrez de précieuses informations sur ce qu’il vit : symptômes, effets secondaires des traitements, douleurs, changements de comportements éventuels, …
  Vous serez ainsi mieux préparé pour accompagner votre proche.
  Par ailleurs, vous pourrez bénéficier d’un espace de parole et d’écoute pour vous-mêmes.
• Mettre en place des services d’aide à domicile tels que le portage de repas, l’aide au lever et au coucher, l’aide à l’habillement, …
  Ceci pour permettre à votre proche de conserver une certaine autonomie tout en restant à son domicile.
• Vous avez également la possibilité de l’équiper d’un système de téléassistance.
  Il s’agit d’un dispositif qui permet d’entrer en contact avec un interlocuteur 24h/24 et 7j/7 en cas d'urgence. Selon la situation, le correspondant préviendra les proches ou contactera directement les services d'urgence.
  Il existe différents dispositifs selon les besoins :
  • Dispositif fixe installé au domicile ;
  • Dispositif mobile pour suivre la personne lors de ses déplacements ;
  • Avec ou sans visio ;
  • Avec capteurs de mouvements ;
  • …

Prenez contact avec un conseiller pour obtenir des coordonnées d’associations spécialisées, en savoir plus sur la téléassistance ou échanger sur votre situation.

Lors du décès d'un proche, certaines démarches doivent être effectuées rapidement, c’est le cas de :

• la déclaration du décès qui doit être effectuée dans les 24 heures auprès de la mairie du lieu du décès ;
• l’organisation des obsèques (inhumation ou crémation) qui doit s’effectuer dans les 14 jours calendaires.

Dans les semaines qui suivent, il faut informer les différents organismes susceptibles d’être concernés par le décès :

• l’employeur de la personne si celle-ci était encore en activité (ou Pôle Emploi si le défunt percevait une indemnité chômage) ;
• le propriétaire du logement en cas de location : demander soit à annuler le bail, soit à le transférer au nom du conjoint ;
• les caisses de retraite de base et complémentaire, en envoyant le certificat de décès ;
• la CPAM ;
• la CAF ;
• les banques et organismes de crédit ;
• les assurances (santé, habitation, obsèques, assurance vie, prévoyance, etc.) afin d’arrêter les prélèvements et obtenir les versements éventuels ;
• le Conseil Départemental si la personne était bénéficiaire de l’APA (Allocation Personnalisée d’Autonomie) ;
• le centre des impôts ;
• le juge des tutelles ;
• les organismes prestataires : opérateur de téléphonie, service des eaux, électricité, abonnements divers, etc.

Puis dans les 6 mois, il convient de déclencher le règlement de la succession.
Plusieurs options sont possibles selon la situation :

• Accepter l’héritage : la part de l’héritage est versée et l’héritier doit également payer les dettes dans la limite de ses droits dans la succession.
• Accepter l'héritage à concurrence de l’actif net : les héritiers percevront leur part d'héritage sans avoir à payer les dettes qui dépasseraient la valeur des biens du défunt.
• Refuser l'héritage : dans ce cas, les héritiers ne recevront aucun bien et ne payeront pas non plus les dettes du défunt.

Vous avez d’autres questions suite au décès d’un proche (succession, soutien moral, etc.), prenez contact avec un conseiller.

En cas d’hospitalisation programmée, différentes mesures sont à prendre pour préparer votre absence de la maison, mais aussi pour anticiper votre retour au domicile.

Organisez la garde de vos enfants

Si vous avez des enfants en bas âge, vous devez trouver une garde pour vos enfants pour toute la durée de votre séjour à l’hôpital ou en clinique. Et idéalement, si vous avez la possibilité de les faire garder pendant les premiers jours de votre retour à la maison, vous pourrez vous reposer et vous remettre plus rapidement.

Vous pouvez ainsi solliciter :

• Votre famille / vos amis ;
• Une assistante maternelle / une garde d’enfants à domicile ;
• Votre assurance complémentaire pour faire valoir d’éventuelles garanties d’assistance.

Confiez vos animaux domestiques

Si vous avez des animaux de compagnie et que vous ne pouvez pas les laisser seuls à la maison lors de votre séjour à l’hôpital, vous pouvez :

• Demander à un voisin ou à un proche de s’en occuper ;
• Confier vos animaux à une personne de confiance qui pourra les accueillir chez elle ;
• Solliciter les services d’une garde à domicile : via des particuliers ou bien des prestataires de services à domicile qui proposent de promener votre animal pendant votre absence ;
• Placer vos animaux en pensions spécialisées ;
• Solliciter votre assurance complémentaire santé, qui peut prendre en charge vos animaux, dans le cadre de services d'assistance inclus dans votre contrat.

Quittez votre domicile et préparez votre retour

Avant de quitter votre logement, vérifiez le contenu de votre réfrigérateur afin de ne rien laisser de périssable.
Pensez à couper l’eau et le gaz, vérifiez qu’il n’y a aucun appareil en fonctionnement, et baissez les radiateurs.
Afin d’anticiper votre retour à la maison, prévoyez de quoi manger. Ainsi ,vous n’aurez pas à effectuer de courses dès votre sortie de l’hôpital.
Selon la durée de votre absence, vous pouvez également remettre vos clés à une personne de confiance. Celle-ci pourra ainsi passer de temps en temps pour s’assurer que tout va bien, aérer le logement, vider la boîte aux lettres, arroser les plantes…

Vous allez être hospitalisé ou vous venez de rentrer à votre domicile ? Contactez un conseiller pour trouver un prestataire de service à domicile, vous aider dans vos démarches administratives...

Le compte personnel de formation (CPF) est un dispositif qui permet à tout salarié, y compris les chefs d'entreprise, de se former tout au long de sa vie professionnelle. À l'origine il était crédité en heures, mais depuis janvier 2019 les heures ont été transformées en euros.

Le CPF, dans quel but ?

Le CPF peut être utilisé pour financer des formations certifiantes, diplômantes ou simplement pour acquérir de nouvelles compétences.
Pour les chefs d'entreprise, le CPF peut être un outil précieux pour développer leurs compétences et celles de leurs collaborateurs. Ces compétences peuvent ensuite être mises en pratique au sein de l'entreprise pour la faire évoluer et en améliorer la performance et la compétitivité.
Le CPF est également un moyen pour les chefs d'entreprise de se maintenir à jour dans leur domaine d'activité, de suivre l'évolution des technologies et des tendances du marché. Cela leur permet de rester compétitifs et de proposer à leurs clients des produits ou des services toujours plus innovants.
En résumé, le CPF est un outil qui peut être très utile pour les chefs d'entreprise souhaitant rester compétitifs sur le marché et maintenir leur entreprise à la pointe de l'innovation. Ces formations peuvent aussi être une possibilité de rebondir suite à un imprévu et vous lancer dans un nouveau projet professionnel.

Quelles formations et où se former ?

En tant que chef d’entreprise, des formations spécifiques sont disponibles telles que :

• Formation en gestion d'entreprise ;
• Formation en marketing et communication ;
• Formation en développement personnel ;
• Formation en langues étrangères ;
• …

Il existe différents organismes qui proposent ces formations comme : les Chambres de commerce et d’industrie (CCI), le Conservatoire national des arts et métiers (CNAM), les Chambres de métiers et de l’artisanat (CMA), les formations des centres de gestion agréés, principalement pour les dirigeants d'entreprises industrielles, commerciales, artisanales et agricoles…

A noter également que tous les chefs d’entreprise (entrepreneur individuel, gérant de société, mais aussi président du conseil d’administration, administrateur, directeur général ou membre de sociétés par actions) ont la possibilité de bénéficier jusqu'au 31 décembre 2024, d'un avantage fiscal prenant la forme d’un crédit d’impôts formation.

N’hésitez pas à consulter le site :
https://www.economie.gouv.fr/entreprises/formation-chef-entreprise

Vous souhaitez suivre une formation pour faire évoluer votre entreprise et rester compétitif, ou pour rebondir suite à un évènement imprévu ? Contactez un conseiller pour échanger sur votre situation personnelle.